L’urgence pour beaucoup de mamans ? Désacraliser le statut de la mère parfaite en levant les tabous : difficultés de l’accouchement, transformations du corps, dépression post-partum, l’impression de perdre pied…
👉 En 2018, l’athlète Serena Williams (photo 1) révélait ses doutes : « Je ne me sentais pas comme une bonne mère. (…) c’est tout à fait normal d’avoir l’impression de ne pas en faire assez pour mon bébé. Je travaille beaucoup, je m’entraîne et j’essaie d’être la meilleure athlète possible. Or, cela signifie que même si j’étais avec mon enfant tous les jours de sa vie, je ne suis pas là autant que je le voudrais. La plupart d’entre vous, les mamans, vivent la même chose. Que ce soit à la maison ou au travail, trouver cet équilibre avec les enfants, c’est vraiment de l’art. C’est vous les héroïnes. » Un discours déculpabilisant toujours bon à rappeler ! 💕
👉 La mannequin Ashley Graham (photo 2) qui donnait naissance à ses jumeaux début janvier n’a pas hésité, tout au long de sa grossesse, à partager des photos non retouchées de son corps marqué et fatigué tout en y ajoutant des mots bienveillants. « Justin m’a dit que mes vergetures ressemblent à l’arbre de vie » ou encore « comment pouvez-vous parler avec autant de douceur aux autres mais parler si sévèrement à vous-même ? » Lors de sa première grossesse déjà, l’américaine s’était confiée sur les réseaux de sa perte de cheveux post-partum. 💕
👉 L’ancienne coach sportive et autrice Chessie King (photo 3) se confie beaucoup sur les difficultés d’être mère. Après avoir diffusé des images de son accouchement, elle a notamment évoqué son mal-être face aux « pleurs fantômes ».
« Cela fait 5 jours que vous ne vous êtes pas lavé les cheveux, vous allez sous la douche et 23 secondes plus tard, vous entendez votre bébé pleurer. » Et pourtant ? Le silence. Elle décrit ainsi sa solitude dans de nombreuses situations similaires et normalise un phénomène dû à la fatigue intense et au stress post-partum. 💕
